15h30:
Ce matin, près du barrage dressé au rond point de Passamainty, une jeune fille est venue à la rencontre des journalistes afin de leur faire part de son désarroi. Tout juste bachelière, elle souhaitait se rendre au sud de l’île pour aller s’inscrire a l’université avant 10h, date limite fixée par le CUFR.
A 10H30, elle se trouvait encore dans les embouteillages et c’est en pleurs qu’elle a lâché ces quelques mots: « Cette journée conditionne le reste de ma vie… et bien je peux vous dire que ma vie est mal partie » …
Elle ne serait pas la seule dans cette situation et reste maintenant à espérer que la direction de l’université de Dembeni, saura faire preuve de compréhension à son égard.