09h35 :
Pendant 15 jours exactement (à 5 heures près), le lycée de Sada a été alimenté par groupe électrogène, jour et nuit. Le silence assourdissant et la non communication de l’autorité sont, en la circonstance, perçus comme de l’indifférence sinon du mépris de la communauté éducative et des lycéens.