À Cléon, le maire Frédéric Marche a pris des mesures pour responsabiliser les familles face aux dégradations de biens publics commises par des mineurs.
En s’appuyant sur la loi française, il impose aux parents de payer les frais liés aux dégâts causés par leurs enfants. Un cas récent, impliquant deux adolescents ayant vandalisé un centre sportif en vidant des extincteurs, illustre cette politique : les familles des jeunes ont dû contribuer à hauteur de 300 euros pour couvrir le coût du matériel endommagé.
Bien que son opposant politique propose d’autres solutions, Frédéric Marche soutient que les résultats sont déjà visibles. Cette approche pourrait-elle être bénéfique à Mayotte, où les comportements irrespectueux envers les biens publics se multiplient ?
En rétablissant l’application de la responsabilité parentale, on pourrait prévenir les actes de délinquance et rappeler aux familles que les biens publics ont un coût et sont des ressources communes méritant le respect.