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Malgré une opération de communication extrêmement bien orchestrée, laissant penser à un déplacement entouré de la population mahoraise, E. MACRON, n’a pas souhaité d’accueil populaire à son arrivée sur l’île mais un simple accueil républicain des seuls officiels.
Les Mahorais peuvent circuler, il n’y a rien à voir.
Avait-il peur d’entendre les doléances de nos compatriotes qui subissent chaque jour davantage d’immigration, qui ne bénéficient toujours pas d’un service public digne de ce nom, puisque les infrastructures sont prévues pour une population déclarée, inférieure de moitié à la réalité. Les mahorais sont bien les oubliés de la République que le Président Macron se vante de défendre.
En effet, quelle honte de parler ainsi de lutte contre immigration alors que c’est la France qui participe au budget des Comores avec plus de 350 Millions d’€ par an sans que cela n’arrête l’immigration clandestine sur Mayotte et que les Comores revendiquent toujours la propriété de Mayotte. Quelle honte de parler de lutte contre l’immigration alors que c’est lui qui ne freine absolument pas le regroupement familial en ouvrant désormais ce dernier aux frères et sœurs ! Quelle honte de parler de lutte contre l’immigration alors que le Président de la République considère que l’immigration est une chance pour l’économie ! Quelle honte de parler de lutte contre le communautarisme lorsqu’hier, nombre de femmes entourant le Président de la République portaient un voile Islamiste noir au détriment des voiles traditionnels colorés et libérés caractéristiques de l’Islam modéré mahorais !
On constate malheureusement que l’immigration est non seulement un fléau pour l’économie mahoraise, mais qu’elle fait surtout peser un risque social majeur, en créant un terrain propice au développement du fondamentalisme islamiste auquel l’île échappait jusqu’à présent : plus de 80% de la population vit déjà sous le seuil de pauvreté, 58% de celle-ci ne maîtrise pas les bases du français, 40% des enfants ne sont pas scolarisés. L’ensemble de ces conditions, dont le Président de la République porte une véritable responsabilité, est un véritable terreau au développement d’une idéologie mortifère qui se nourrit de la misère et de l’isolement des populations !
Il est urgent d’agir en mettant un frein à cette explosion migratoire. Le Dr. Joëlle MELIN, Député du Rassemblement National au Parlement européen réclame ainsi la fin du droit du sol et du regroupement familial. Elle sollicite à nouveau des instances européennes un débat d’urgence qui a toujours été refusé par ces dernières, afin que celles-ci se saisissent de la problématique dans cette région ultrapériphérique de l’Union européenne.