Face aux violences dont sont victimes une nouvelle fois les transporteurs scolaires mais aussi les enfants, comme en témoignent d’ailleurs les graves exactions du 10 septembre dernier à Koungou où 4 bus et 194 enfants avaient été littéralement pris en otage, les conducteurs ont décidé d’exercer dès ce matin leur droit de retrait.
Ils demandent des mesures fortes, bien plus que celles qui ont été actées lors de la réunion de crise de vendredi dernier à Tsingoni.