Aujourd’hui, une réunion vitale s’est tenue à la mairie de Mamoudzou concernant la situation actuelle des makis qui sont en danger après le passage du cyclone Chido. Pour la ville de Mamoudzou et la population, il est urgent de faire quelques chose pour les makis qui meurent de faim, qui sont victimes de caillassages de jeunes sans la moindre éducation ou écraser par des voitures. « C’est une population naturelle qui est protégée. On ne peut pas les nourrir, bien évidemment », explique Mohammed Thani Ibouroi, conservateur de la réserve nationale de l’îlot Mbouzi et docteur en écologie et biologie de la conservation. Pour protéger les makis, ils proposent de sensibiliser les automobilistes pour qu’ils ne soient pas écraser sur les route, voire de mettre en place des panneaux d’alerte. Pour le reste rien. Il faut laisser faire la nature, même si les makis meurent de faim après la destruction de leur habitat par Chido, et part la déforestation causé par l’humain bien avant le cyclone.
Aucune mesure concrète pour les sauver. Il aurait été pertinent de proposer la création d’un structure pouvant accueillir les animaux sauvages et donc légalement autorisé à les récupérer pour les protéger, les soigner, les nourrir avant leur réintroduction dans leur habitat naturel.
