Cela fait plusieurs semaines que la situation couvait, une manifestation contre la présence des clandestins et contre ceux qui leur fournissent de l’aide, des prises de parole virulentes …
La nouvelle est tombée, la population de Boueni donne un ultimatum à ceux qui ne sont pas désirés dans les villages : soit ils partent, soit ils seront chassés.
Le délai courre jusqu’au 9 avril
C’est le retour des décasages comme on les avait connus dans le sud il y a quelques années.
Dans les communes alentours, le raz le bol de la population est le même, l’initiative de Boueni fera-t-elle des émules ?