Sur toute l’île, les délinquants continuent de dresser des barrages, et d’attaquer les forces de l’ordre lorsqu’elles viennent les disperser.
Même en ces temps de confinement et de couvre-feu, la vie de gendarme ou de policier n’est pas aisée, loin de là. Ces derniers jours, plusieurs barrages ont été érigés à Mayotte, comme à Koungou ou Bandraboua. Si le nord de l’île emploie une grande proportion des fonctionnaires de gendarmerie, le reste des communes n’est pas en reste. A Chirongui ou encore Dzaoudzi, des caillassages ont visé les véhicules de gendarmerie qui étaient sur place pour effectuer des contrôles routiers pour faire respecter le confinement.