Lundi dernier, le 25 novembre en début de matinée à Mtsahara, une femme perfusée venait d’être déposée par un kwassa-kwassa lorsqu’elle a été découverte par les policiers municipaux.
Très faible, elle a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et transportée vers l’hôpital de Dzoumogné. Le ballet des kwassas se poursuit, il est temps que le système santé comorien se développe et prenne en charge ses malades…