15h56 : Il s’agit bien évidemment d’un procès fictif, à l’initiative des étudiants de droit et de lettre moderne du CUFR.
M. Maliki est accusé d’avoir donné la mort par accident et sans intention de la donner à un cambrioleur qui était venu commettre des méfaits chez lui. Alors l’avocat de M. Maliki saura t-il défendre et avoir de bons arguments pour disculper son client ? La famille de la victime va t-elle gagner ce procès ?
Le rendez-vous était initialement pris le 12 avril au CUFR de Dembéni, mais a dû être reporté à cause des mouvements sociaux qui ont paralysé l’île. Les étudiants du CUFR invitent ainsi la population à assister à ce procès fictif le jeudi 12 mai de 14h à 16h30 dans la salle polyvalente du CUFR.
Un procès fictif, certes, mais qui soulève tout de même des problématiques locales : la drogue de synthèse que l’on appelle « la chimique », et les cambriolages à répétition qui parfois peuvent entrainer des débordements…