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Lors de la dernière séance plénière du Conseil départemental, le 10 décembre 2015, le président Soibahadine Ibrahim Ramadani avait évoqué un lissage de la masse salariale passant par le non renouvellement de postes après départs à la retraite, de certains contrats à durée déterminée, mais aussi par la limitation des contrats aidés, et ce, afin d’assainir les finances. Daniel Zaidani, qui redoutait une chasse aux sorcières, a alors dénoncé les dysfonctionnements au STM, évoquant des personnels en sous-effectif et « les licenciements politiques opérés au sein du STM par le nouvel exécutif du Conseil Départemental d’avril 2015.”
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