Si la question du délaissement infantile et de la maltraitance parentale est presque un inconditionnel des audiences collégiales de Kawéni, il est toutefois plutôt rare que l’un des prévenus débarque en état d’ébriété à son propre procès avec deux heures et demie de retard. Et pourtant…
Découvrez l’article en entier dans France Mayotte Matin