A Pamandzi, les locaux où se reposent les gendarmes mobiles, a été abondamment caillassé par les délinquants qui animent un triste quotidien depuis des semaines maintenant. Personne n’a été interpellé ni identifié, mais cela en dit long sur la “guerre“ qui est déclarée en Petite-Terre entre l’engeance et les forces de l’ordre. Même quand les militaires se reposent, les voyous veulent en découdre. Ainsi, après le vol de moteurs de kwassas, ce sont les gendarmes qui sont victimes ds agressions nocturnes et plus seulement les habitants de Dzaoudzi ou Pamandzi la nuit. Pathétique !
