Les faits ont commencé quand un individu a agressé gratuitement une enseignante qui se rendait au collège. Le lendemain, il est repéré près de la gendarmerie de Sada. Les gendarmes tentent de l’interpeller, mais l’individu sort une machette. Il parvient à prendre la fuite au milieu de la circulation. Le lendemain, il se présente à la gendarmerie et il est placé en garde à vue. Tout ce passe bien, jusqu’à ce que le gendarme qui l’auditionne lui pose des questions sur une série d’incidents qui s’est déroulée à Sada. Il s’énerve et casse l’ordinateur portable de la gendarmerie. Il faudra plusieurs gendarmes pour le maitriser, non sans mal, puisque l’individu, causera la chute, involontairement comme le déclare le gendarme, et lui causera une entorse de la cheville et un arrêt de travail de 14 jours. Au tribunal, le prévenu déclare qu’il se rendait dans un magasin pour acheter un coca, le tout avec une machette cachée sur lui. Il déclare également avoir brandi sa machette pour que les gendarmes lui tirent dessus pour en finir. Ses différentes déclarations à la barre du tribunal correctionnel non pas plaidé en sa faveur. Il a été condamné à 18 mois de prison ferme, et son sursis probatoire de 6 mois a été révoqué. Ce qui fait en tout deux années de prison.
