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Il y a tout juste deux ans, en mars 2018 alors que Mayotte subissait les blocages à travers l’île, la ministre de l’Outre-Mer Annick Girardin tendait l’oreille quant aux attentes des mahorais et prenait, parmi d’autres, un engagement fort. “L’État s’engage sur un objectif de répression des personnes délivrant des attestations d’hébergement de complaisance et des reconnaissances abusives de paternité” lançait ainsi la ministre avec beaucoup de fermeté.
Où en sommes-nous ?
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