Mirimoéma a créé une maison médicale à Anjouan pour éviter que les malades comoriens ne viennent se faire soigner à Mayotte, sur des maux de tension et de diabète. En 2 ans et demi, 5 600 personnes sont passées par lui. Il ambitionne de créer 3 maisons de ce genre sur l’île étoile pour un coût global de 30 000 euros. A ce jour, personne ne l’a aidé, ni l’État comorien, ni l’État français, ni l’Europe. Aujourd’hui, la maison médicale risque de disparaître, il doit un an de loyer en retard soit 2040 €.